-
Brise légère
Brise légère
Ô toi ! brise légère
Tu viens frôler ma joue
Dans mes cheveux tu joues
Quelle douceur tu erres !
Fermant alors les yeux
De toi toujours j'espère
Et de ton corps de rêve
Dans un élan fougueux
Suaves tes caresses
De doux moments d'ivresse
Brûlante, je le suis
J'y passerais la nuit.
Je voudrais rêver
Ainsi toute ma vie
Dans ce bonheur béni
Douce brise passée.
StellaC
-
Commentaires
bonjour Stella..ton poême est de toute beauté..
il ne resterait qu'a y ajouter qq note de musique pour en
faire une belle chanson...:)
bravo ..passe une belle journée..
coucou Stella merci de ton passage et commentaire sur blog, lol je m'aperçois que j'étais déjà venue
bisous bonne soirée et à bientôt idem je reviendrais et pour pas te perdre je vais j'ajouter dans mes liens
Ninie
Marbre sacré, vêtu de force et de génie,
Déesse irrésistible au port victorieux,
Pure comme un éclair et comme une harmonie,
O Vénus, ô beauté, blanche mère des Dieux !Tu n'es pas Aphrodite, au bercement de l'onde,
Sur ta conque d'azur posant un pied neigeux,
Tandis qu'autour de toi, vision rose et blonde,
Volent les Rires d'or avec l'essaim des Jeux.Tu n'es pas Kythérée, en ta pose assouplie,
Parfumant de baisers l'Adonis bienheureux,
Et n'ayant pour témoins sur le rameau qui plie
Que colombes d'albâtre et ramiers amoureux.Et tu n'es pas la Muse aux lèvres éloquentes,
La pudique Vénus, ni la molle Astarté
Qui, le front couronné de roses et d'acanthes,
Sur un lit de lotos se meurt de volupté.Non ! les Rires, les Jeux, les Grâces enlacées,
Rougissantes d'amour, ne t'accompagnent pas.
Ton cortège est formé d'étoiles cadencées,
Et les globes en choeur s'enchaînent sur tes pas.Du bonheur impassible ô symbole adorable,
Calme comme la Mer en sa sérénité,
Nul sanglot n'a brisé ton sein inaltérable,
Jamais les pleurs humains n'ont terni ta beauté.Salut ! A ton aspect le coeur se précipite.
Un flot marmoréen inonde tes pieds blancs ;
Tu marches, fière et nue, et le monde palpite,
Et le monde est à toi, Déesse aux larges flancs !Iles, séjour des Dieux ! Hellas, mère sacrée !
Oh ! que ne suis-je né dans le saint Archipel,
Aux siècles glorieux où la Terre inspirée
Voyait le Ciel descendre à son premier appel !Si mon berceau, flottant sur la Thétis antique,
Ne fut point caressé de son tiède cristal ;
Si je n'ai point prié sous le fronton attique,
Beauté victorieuse, à ton autel natal ;Allume dans mon sein la sublime étincelle,
N'enferme point ma gloire au tombeau soucieux ;
Et fais que ma pensée en rythmes d'or ruisselle,
Comme un divin métal au moule harmonieux.
Charles-Marie Leconte de LisleAllo allo ! demain c'est la fete en France
c'est le 14 juillet boom ca va faire boom dans le ciel de Paris
donc pénard sur ma terrasse, je mate a gauche et hop le spectacle est garanti
un gros bisooooooooooo bon week
Vouiii ma momo !!! les ami'es sont aussi la pour cela filer un ti coup de pouce
bon week ma stellac un gros bisoooooooo
kikou je suis une amie De Zabou dans facebook
elle m`a donné ton adresse car il faut que je fasse connaitre mon blog
beau poeme que voici
bonne journée il vente au Québec comme a Paris
coucou très joli blog je suis une amie de Zabou qui a monté le mien et lol m'a mise dans mes liens c'est pourquoi je me permets de venir
très joli texte et je te souhaite un très bon week-end
amicalement
Annie62
Yes ! pile poil ma tite animation la
n'empeche que ca fait super bien sur ce blog
en voila de la brise.. en voilaaaa !!
un bisou mon amie un tres gros bisoooo
même
merci pour ce poème !
Ajouter un commentaire
Allo Stella
Avec ta permission, j'ai pris ton poême et sauver dans mes documents ..
je vais essayer de mettre quelques notes sur ce magnifique poême
sois sans crainte .. je vais la chanter et t'identifier comme Auteur de la chanson
sur le produit final :)
Serge.. bonne journée
amitié..:)