coucou je passe sans faire de bruit pour te souhaiter un bon lundi et une bonne semaine. ce matin , je me suis réveillée avec l'orage , maman , les chocottes lolll allé , je t'envoie mille doux bisous d'amitié

bonjour

je passe avec un beau soleil je partage

avec toi si tu en a pas

belle journeé a toi en ce lundi

remplie de douceur

bise ensoleileé vero

Allo allo ! je viens te faire un gros bisou ma Stellac. Faut que je t'installe ton message d'accueil et ta bannière du bas.. je le fais au plus vite. un gros bisoooooo

bonjour miss je passe te faire coucou avant d'aller faire brozette dans mon jardin il fait tellement beau et chaud j'adore j' espere que toi auss i tu a un beau soleil gros bisou vero ♥

coucou, lol je ne sais plus si je juis passée chez toi ma Zabou me dit vas voir mais comme j'étais pas en forme bref très joli blog

et très bon texte bravo

bon week-end

Bisous

Ninie

coucou merci pour ta visite

belle journeé a toi bisou vero

b'jour touaa
par ce vendredi sous la pluie , un tit coucou pour te souhaiter un b'onne journée et un bon weekend.
bon vi encore et encore la pluie et le vent .
hihihihi mais non lolll,je ne part pas en voyage , je vais voir mes tits enf'nts

l'amitié c'est aussi : La terre nous fait attendre ses présents à chaque saison, mais on recueille à chaque instant les fruits de l'amitié.

bonsoir quelle joli univers

amicalement vero

kikoo kikoo ma Stellac ben nous tu as pas confondu car certes la déco est créer par Sylvie erwan mais cependant les tites choses comme le calendrier et l'horloge sont bien de syl . je te fais un

gros gros bisooooo

Coucou Stella

Ce n'est pas moi que tu dois remercier pour ton blog , je n'y suis pour rien . Zabou a juste pris deux images chez moi c'est tout. Donc c'est elle que tu dois remercier et l'autre Sylvie qui t'a fait les bannières.

Bonne journée à toi

bises

Kikoo kikoo ce qui est bien avec le muguet c'est qu'en fait en le déposant sur les blogs il s'en toujours aussi bon. Un bisou ma Pierret porte toi bien

bon week

Michel d' AMBOISE

Le blason de la dent

Dent, qui te montres en riant
Comme un diamant d'Orient
Dent précieuse et déliée,
Que nature a si bien liée
En celui ordre où tu reposes
Qu'on ne peut voir plus belle chose
Dent blanche comme cristal, voire
Ainsi que neige, ou blanc ivoire ;
Dent qui sens bon comme fait baume,
Dont la beauté vaut un royaume ;
Dent qui fais une bouche telle
Comme fait une perle belle
Un bien fin or bouté en aeuvre ;
Dent que souvent cache et découvre
Cette belièvre purpurine,
Tu fais le reste être divine,
Quand on te voit à découvert.
Mais, dent, quand ton pris est couvert
Le demeurant moins beau ressemble,
Car son honneur est, ce me semble,
Luisant ainsi que perle nette,
Qui reluit comme une planète,
Encore plus fort que la lune ;
En tout le monde n'en est une
Qui soit si parfaite que toi.
Je te promets quand je te vois,
Comme au premier que je te vis, je suis tout transi et ravi,
Et cuide au vrai, te regardant,
Que ce soit un soleil ardent
Qui se découvre des nuées.
De l'odeur qui belle dent rache,
Garde-toi bien qu'on ne t'arrache,
Car pour vrai qui t'arracherait,
Plusieurs et moi il fâcherait
Pourtant que l'arracheur méchant
Arracherait en t'arrachant,
La beauté de toute la face,
Qui n'a sans toi aucune grâce.

Ce matin-là, au moment de me lever
J’avais vu, que mon ordi était resté allumé
Il y avait même un beau message dessus
J’étais heureux, de ce que j’y avais lu

Bonjour me disait-on, il fait quel temps chez toi
Je te souhaite, une journée pleine de joies
Et fais si tu veux, que chacune de tes heures
Soit remplie de beaux p’tits bonheurs

Il est rare qu’une journée commence ainsi
J’avais été sans doute le plus surpris
D’autant d’ailleurs, que ce matin-là
Je n’avais pas la bonne humeur en moi

Y’a des jours comme ça, ou l’on ne vit pas
Y’a des jours aussi, ou rien ne va
Des jours ensoleillés, ou l’on a froid
Ou les p’tits bonheurs nous glissent entre les doigts

Mais ce lundi-là, j’avais retrouvé mon sourire
Et je prendrais le temps de me faire plaisir
Ce souhait, en était vraiment un d’amitié
Une preuve certaine que j’étais aimé

Je l’avais donc à mon tour, renvoyé à plusieurs
Il mettrait aussi, du soleil dans leur cœur

Texte Claude Marcel Breault